Wed/Jun/Å
L'incontournable filet de bœuf Wellington est à déguster en salle ou en terrasse du lundi au vendredi, midi et soir !
L'Office
3 Rue Richer, Paris 9, 75009
La carte des #TTBonnes terrases et #TTBons restos à emporter : https://bit.ly/2T4JG3j
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009
Wed/Jan/Å
10 ans que l’Office adoucit la pause bureau des cols blancs des Faubourgs. Charles Compagnon (Le Richer, 52 Faubourg Saint-Denis) a récemment passé la main à Charles Nikitits (ex Royal Monceau, La Maison de la truffe). Un imposant comptoir en bois, une belle table ronde, du vert pastel, de nombreuses plantes, de la vaisselle en céramique, une carte courte, des suggestions uniquement de saison, des propositions bistrotières et d’autres audacieuses, des produits de qualité au sourcing impeccable, l’Office est le genre d’adresses qui ne déçoit pas. En cuisine, Charley Breuvart, 27 ans, qui a fait ses armes au Park Hyatt et à l’Atelier Rodier.
DANS NOS ASSIETTES ?
A la carte, des suggestions à partager, trois entrées, trois plats et trois desserts.
Sardinillas à l’huile d’olive / moutarde aux herbes / pain grillé
Carpaccio de Saint-Jacques / topinambour / algues
Cabillaud / légumes d’hiver rôtis / beurre de Saint-Jacques
Saint-Jacques / tapioca, coriandre / Nashi, fenouil / citron confit
Tartelette chocolat / Tonka / Thé Sencha
Cheesecake / coulis mangue & passion / noix de coco
restaurant-l-office-paris-9-eme
C’EST COMBIEN ?
Entrée environ 12 € – Plats 24 € – dessert 10 €.
MON AVIS ?
Nous avons très bien mangé. Des plats avec ce qu’il faut d’audace et de réconfort cuisinés avec des produits frais et rigoureusement sélectionnés. Délicat et goûtu carpaccio de Saint-Jacques et topinambour, audacieux et excellent plat de Saint-Jacques escortées de tapioca en risotto et de Nashi et fenouil. Cheesecake rafraîchissant et tartelette choco tonka Sencha régressive et plutôt à partager si vous ne souhaitez pas rouler jusqu’à chez vous. Une très bonne adresse en amoureux, entre collègues ou pour un déjeuner d’affaires.
L’OFFICE
3 Rue Richer, 75009 Paris
Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h et de 19h à 22h30
www.office-resto.com
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Wed/Jan/Å
10 ans que l’Office adoucit la pause bureau des cols blancs des Faubourgs. Charles Compagnon (Le Richer, 52 Faubourg Saint-Denis) a récemment passé la main à Charles Nikitits (ex Royal Monceau, La Maison de la truffe). Un imposant comptoir en bois, une belle table ronde, du vert pastel, de nombreuses plantes, de la vaisselle en céramique, une carte courte, des suggestions uniquement de saison, des propositions bistrotières et d’autres audacieuses, des produits de qualité au sourcing impeccable, l’Office est le genre d’adresses qui ne déçoit pas. En cuisine, Charley Breuvart, 27 ans, qui a fait ses armes au Park Hyatt et à l’Atelier Rodier.
Thu/Jan/Å
Voilà une maison étonnante, qui change de patron (on est au 3e au compteur), comme de chef (on ne compte plus), mais qui retombe toujours sur ses pattes. Le dernier boss en date, Charles Nikitis, a été barman au Royal Monceau dans une vie antérieure. Et le cuisinier, le jeune et brillant Charley Breuvart, a oeuvré chez Jean-François Rouquette au Pur du Park Hyatt Vendôme sans omettre deux saisons au K2, l’un des deux étoiles discrets de Courchevel. Autant dire qu’il connaît son affaire.
La carte des vins, bâtie avec malice par Gwilherm de Cerval qui fut sommelier au Royal Monceau (où il connut l’ami Charles) et au Ritz, a du répondant et tout ce qui est servi en guise de plat du jour ici est digne d’intérêt et, pour tout dire, guère loin de ce qu’on trouve dans une table étoilée, le chichi en moins. On relève ainsi le splendide foie gras de canard au naturel à partager, la raviole de brousse au coulis de cresson et parmesan, comme les gambas croustillantes en papillote, avec fregola sarda, sauce bisque qui font des entrées pimpantes.
Il y a encore le maigre snacké avec son céleri, ses topinambours et son jus coquillages, à plus le classique filet de bœuf Wellington, avec sa fine croûte, sa duxelles, sa purée de pommes de terre rattes, sa salade d’herbes, sa sauce champignons qui sont pile poile. On y ajoute le fringant gewurz VT (vendange tardive) de chez Trimbach à Ribeauvillé, parfait sur le foie gras, le rubicond rouge syrah Petit Ours en côtes du Rhône du vigneron aux doigts d’or Mathieu Barret.
Filet de boeuf Wellington © GP
Et l’on n’omet pas des desserts séducteurs, comme le cheese-cake au coulis de mangue et passion, plus noix de coco ou la tartelette au café, chocolat et nougatine. L’addition demeure celle d’un bistrot tendance, le cadre est simple mais charmeur avec ses tables de bois, son comptoir-desserte. Bref, allez-y de notre part, vous ne serez pas déçu! Chartreuse verte VSOP et bas-armagnac signé Darroze sont là, en sus…
L’Office
3, rue Richer
Paris 9e
Tél. 01 47 70 67 31
Carte : 55 €
Fermeture hebdo. : Samedi midi, dimanche
Fermeture annuelle : 4 jours à Noël, 3 semaines début août
Métro(s) proche(s) : Grands Boulevards, Poissonnière
Site: www.office-resto.com
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Tue/Oct/Å
Connu « comme le loup blanc » dans tout le quartier du Faubourg-Montmartre, L’Office est une adresse d’habitués. Cela lui confère une atmosphère singulière, familière et rassurante. On aime s’y rendre avec l’intention de manger un plat sur le pouce et on en repart – presque à chaque fois – deux heures plus tard repus avec la totale. Impossible de résister aux propositions alléchantes de la carte, entre bistro et gastronomie, renouvelée depuis l’arrivée d’un nouveau chef : Benjamin Schmitt, passé notamment par Paris, au Meurice, époque Yannick Alléno, et par Berlin, aux Solistes de Pierre Gagnaire. Son décor, lui, est resté le même : sobre mais habité, jolies toiles et bouquets de fleurs obligent. Ajoutez à cela une formule déjeuner droite dans ses plats, et vous pourrez repointer à l’Office avec le sourire !
L’Office - restaurant bistronomique
Tue/Oct/Å
Repris il y a tout juste un an par Charles Nikitits, le restaurant l'Office situé rue Richer dans le 9e, a décidé de souffler ses 365 bougies en rendant un vibrant hommage au Bœuf Wellington, recette emblématique de la cuisine classique d'outre-Manche popularisée au début du 19ème siècle par Arthur Wellesley, Duc de Wellington.
Après plusieurs années passées dans de belles maisons comme La Maison de la Truffe, ou Le Royal Monceau, Charles Nikitits, 31 ans, a racheté le restaurant L'Office (situé dans le quartier du Faubourg Montmartre) à son homonyme : Charles Compagnon.
Sans avoir pour autant trahi l'ADN de cet ancien bistrot de quartier, le nouveau maître des lieux a revisité l'espace à son image, chaleureuse et accueillante : les murs crépis à la chaux vert pâle, le sol en parquet de bois brun, et les tables en bois brut ceinturées de banquettes rétro, donnent à la salle des airs de jardin d'hiver.
Et pour fêter son premier anniversaire à la tête du restaurant, Charles Nikitits a décidé de mettre à l'honneur le plat phare de sa carte (déjà plus de 3000 pièces commandées depuis septembre 2018), le Bœuf Wellington : un tendre filet de bœuf enrobé d'une farce de champignons et de foie gras, que l'on entoure ensuite d'une couche de pâte feuilletée, avant de faire cuire le tout au four.
Mais adresse bistronomique oblige, ce monument de la cuisine classique anglaise est ici servi avec une sauce au poivre vert de Kampot, en lieu et place de la traditionnelle sauce madère.
Un joli plat à (re)découvrir, pour 29,50 € à la carte.
Horaires
Du 4 juin 2019 au 4 juin 2020
Lieu
L'Office
3 Rue Richer
75009 Paris 9
Accès
Métro : Cadet
Tarifs
Desserts : 10-11 €
Entrées : 10-15 €
Plats : 22-29 €
Réservations
www.office-resto.com
01 47 70 67 31
Fri/Sep/Å
Cette semaine, détour obligé rue Richer ! On file à L'Office pour se délecter de leur incontournable boeuf Wellington. Prêt pour la very good lesson ?
Fri/Sep/Å
D’un Charles à un autre, le restaurant L’Office est passé des mains du restaurateur Charles Compagnon à celles de Charles Nikitits en 2018. À l’époque, nous étions passés à côté. Heureusement, nous savons rattraper nos erreurs…
C’est dans les murs de L’Office de Charles Compagnon que Charles Nikitits s’est installé il y a un peu plus d’un an. Un peu de rénovation, un peu de décoration, quelques peintures, la réfection de la cuisine qui était « un peu fatiguée » du vert clair, du gris clair, de la verdure, mais l’esprit bistronomique initié par le premier Charles reste, ainsi que le nom. Le restaurant existait depuis 12 ans, il était temps de lui apporter un second souffle et comme l’adresse fonctionnait bien dans le quartier, Charles Nikitits a préféré faire, comme un slogan d’affiche électorale, le changement dans la continuité.
Le restaurant est « stable en terme de qualité » nous affirme Charles Nikitits. La carte est courte et change régulièrement, les produits sont de saison, et l’idée à la reprise des murs était bel et bien de « redonner un peu de pep’s à une adresse qui s’était un peu éteinte ». Pour cela, c’est avant tout une philosophie que l’équipe qui s’installe va garder : le respect des saisons, apporter des nouveautés régulièrement aux clients réguliers, et une belle sélection de vins.
Pour cette dernière partie, Charles Nikitits va demander à son ami Gwilherm de Cerval, que les aficionados de l’émission Très très bon sur Paris Première connaissent bien, de créer une carte des vins digne de ce nom. Le jeune sommelier va mettre en relation le restaurant avec des vignerons pour qu’ainsi le rapport qualité/prix des vins soit exceptionnel. La carte des vins bouge aussi régulièrement et le sommelier médiatique continu ainsi, encore aujourd’hui, de la travailler : « Il connaît très bien le vin, il connaît très bien les vignerons et les tendances actuelles, c’est quelque chose de très important pour moi… » nous explique le propriétaire des lieux.
C’est au Royal-Monceau que les deux hommes se sont rencontrés. Après des études de droit et de business, Charles Nikitits s’est tournée vers les métiers de la restauration : « Depuis que j’ai 10 ans, je dis à mes parents que je veux ouvrir un restaurant… ». Il commence donc « en bas de l’échelle » dans le Palace, puis gère un « petit bistrot », un peu plus tard, pour finalement arriver à s’occuper d’un restaurant prestigieux « Maison de la Truffe ». Le groupe l’envoie alors en Thaïlande pour ouvrir des franchises, il va y rester un peu plus d’un an et ainsi gérer 14 restaurants. Aujourd’hui, à 31 ans depuis juin 2018, avec L’Office, le petit bonhomme de 10 ans a enfin réalisé son rêve en ouvrant son « resto ».
La transition entre Charles se fait facilement « il voulait vendre à quelqu’un qui avait la même philosophie… ». Charles Compagnon est également propriétaire, en face, du Richer et c’est pratique pour la continuité de L’Office « On partage des clients, on partage des fournisseurs… ». À deux pas de la rue du Faubourg Poissonnière où la street-food fait souvent loi, les deux adresses sont, comme le dit le jeune restaurateur, « deux étapes dans le quartier pour les gens qui veulent de beaux produits à des prix pas délirants ».
Et justement, la clientèle, bien qu’interpellée par les changements, a continué de venir à L’Office, au début pour les découvrir et maintenant, surtout, parce que c’est bon et que l’on s’y sent bien. Tiens, justement, qu’est-ce que l’on y mange ? Le jeune chef de 27 ans, Charley (comme un fait exprès…) Breuvart a été formé à Ferrandi et est passé par les cuisines de Jean-François Rouquette. Il a une belle maîtrise des bases classiques et sait parfaitement les renouveler pour apporter sa patte personnelle et faire quelque chose de plus abordable que ce pour lequel il a été formé. Les deux hommes ont cherché ensemble, sur des bases communes, la façon dont ils envisageaient la restauration pour construire une carte équilibrée. Des producteurs de qualité, mais également un potager personnel « à moins de 100 kms de Paris » et cultivé le week-end par Charles Nikitits, permettent au cuisinier de faire un beau travail tout en fraîcheur et surtout en goût !
L'Office - intérieur - Photo 7deTable.com
Pourtant affiché comme spécialiste du poisson en Ikejime, Charley Breuvart à un plat signature, malgré lui, le Boeuf Wellington : « Nous avions depuis quelques semaines une entrecôte maturée à la carte, et l’on se demandait ce que nous allions faire à la rentrée… » explique Charles Nikitits, « Charley me dit : “Je ferais bien un filet de bœuf Wellington !”, j’ai habité en Angleterre, je connaissais la recette, celle de Gordon Ramsey est une référence là-bas. C’est un peu le seul plat, avec le fish’n’chips qui a traversé le monde… ». Après plusieurs tests techniques - la cuisson n’est pas aussi facile que l’on veut bien le croire - c’est concluant et le bœuf Wellington fait son entrée sur la carte de L’Office. L’engouement est tel que le plat ne changera plus et qu’il devient « plat signature » de la maison. Rare dans Paris, certains clients traversent la capitale uniquement pour venir le commander. Seule la garniture change au fil des saisons, et ce filet de boeuf cuit à l’étouffée dans une pâte feuilleté se retrouve en hiver avec une purée de pommes de terre, une sauce poivre ou foie gras et en été, de manière un peu plus fraîche, avec une salade de céréale froide et vinaigrée. L’acidité permet de jolie manière de contrebalancer le gras de la pâte. Sans tout dévoiler de la recette du chef, nous pouvons assurer que l’important est aussi bien l’épaisseur du feuilletage que la cuisson au four au degré prêt. Le succès du plat est tel, que le restaurant a dépassé les 3 000 bœufs Wellington servis.
Dans un avenir proche ou plus éloigné, Charles Nikitits et Charley Breuvart aimeraient ouvrir un deuxième restaurant qui suivrait la même philosophie que le premier, peut-être dans un autre quartier de Paris, un quartier où il y aurait moins ce genre de bonnes adresses, un quartier un peu plus vierge, mais où qu’il soit, nous en serons !
L'Office
3 Rue Richer,
75009 Paris
Mon/Jun/Å
Table testée et approuvée par YONDER – Coup de cœur de la rédaction
Qui ? Récemment repris par Charles Nikitits (ex Royal Monceau), ce petit cocon bistronomique de la rue Richer est désormais chaleureusement animé avecc le jeune chef Charley Breuvart (ex Park Hyatt Vendôme, Atelier Rodier).
Pourquoi on réserve ? Au-delà de l’accueil et du service élégants, c’est bien pour la carte courte, variée et de saison que l’on reviendra (puisque remaniée chaque semaine). On hésite longtemps entre les poissons (que le chef adore travailler) et les viandes à la cuisson parfaite (le colvert sauvage et le filet de bœuf Wellington). Puis on découvre l’attention portée au jus et sauces, ainsi que la finesse des légumes sortis du potager normand du chef.
Comme si ça ne suffisait pas, les desserts sont eux aussi terriblement justes : une figue pochée au vin chaud avec une touche de romarin toute en délicatesse ou la tartelette chocolat, fève tonka, thé Sencha bien gaillarde mais ô combien réjouissante. Tout fonctionne presque par magie : l’ambiance chaleureuse, les vins bios et souvent natures, la qualité du sourcing des produits… c’est un sans faute dans le registre de la bistronomie parisienne qui, bien trop souvent, s’arrête au “bistro-”.
Le conseil en plus ? Ne pas hésiter à appeler pour connaître la carte du moment, qui cache toujours quelques pépites. Il serait dommage de louper, par exemple, ces ravioles de cèpe et bouillon de shitaké, au menu pour seulement quelques jours
Combien ? Entrées de 10 à 11,50€ ; plats de 22 à 29€ ; desserts de 10 à 11€.
L’Office - restaurant bistronomique / néo-bistrot
Thu/Jun/Å
If I liked this small restaurant near the Folies Bergère when it was first opened by restaurateur Charles Compagnon, I like it even better since it’s been taken over and remodelled by Charles Nikitits. Having worked at the Royal Monceau hotel in Paris, and at the Maison de la Truffe in both Paris and Bangkok, Nikitits is a seasoned hospitality professional whose greatest pleasure is sourcing the best seasonal produce possible for his restaurant, including fruit, vegetables and herbs from his family’s farm.
With a white-tiled bar, almond green and toast painted walls, oak plank floors and ’50s retro light fixtures, the restaurant is a perfection reflection of this young, creative neighbourhood in the heart of Paris that shares something with Shoreditch in London and Gowanus or Clinton Hill in Brooklyn, New York. Every detail here has been given attention, including the place settings, since Burgundian ceramicist Judith Lasry spent two months creating a dinner service that would flatter the cooking of young chef Charley Breuvart, who previously worked with Jean-François Rouquette at the Park Hyatt Paris.
Breuvart’s passion is seafood, which came across during an excellent recent lunch here. After shared starters of haddock with potato waffles and horseradish-spiked whipped cream and oeufs en meurette with bacon and pepper gelée, the main courses were suave and stunningly creative. My scallops came on a bed of coriander-seasoned tapioca with garnishes of nashi, fennel and pickled lemon – a magnificent combination of taste and textures that never overwhelmed the gentle, sweet, natural taste of the scallops themselves. Yellow pollack with puréed leeks and potatoes, Brussels sprouts and a shellfish emulsion was subtle and satisfying too. Buckwheat- flour brioche with coffee and whisky flavoured cream and homemade cheesecake with mango and passion fruit coulis finished an excellent meal.
3 rue Richer, Paris 9th. Tel.+33 (0)1 47 70 67 31. Average à la carte €45. www.office-resto.com
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009 - French gastronomy - gourmet food - Gastronomy restaurant - Paris must do
Wed/May/Å
I have been to L’Office many times when a new chef took over, but now this little restaurant has not only another chef – the best yet, in my opinion – but also a different owner and a revamped decor.
The new man in charge, Charles Nikitits, who waited on us the other night, is a sweetheart, and the minimalist decor has brightened the place up, with a coat of pale green paint, a white-tiled bar and a variety of designer light fixtures.
With four of us and four choices on the menu for starters and main courses, we immediately decided to order one of each and share them all.
Among the excellent starters, it was hard to decide which one was best, but there seemed to be a consensus in favor of the unusual “cereal salad“: lots of healthy grains with a confit egg yolk, watercress and wild garlic.
But then who could resist a delicate preparation of perfectly cooked white asparagus with morels, aged Comté, lardo du Colonatto and vin jaune.
And we certainly relished the roasted broccoli with coriander, parsley and black garlic, adorned with squid-ink wafers.
Perhaps the least exciting was the maigre (meager) tartare with cucumber, black radish and tosazu (a type of Japanese vinegar), but it was beautifully fresh, and I found it to be quite subtle.
If possible, the main courses were even better, truly exciting. I think we all agreed that the pork belly with puréed lentils, baby carrots, carrot leaves and grain-mustard sauce was a stunner. If you go to L’Office, do not miss out on it.
The pork tied closely, however, with the exceptional beef Wellington, a dish rarely seen in French restaurants these days. It was meltingly tender with a flavorful crust that didn’t go all soggy and was served with divine mashed potatoes with Kampot green pepper and some greens. Wow!
The third dish, Thai-style gambas with coconut-flavored broth and black puffed-rice crackers, was no slouch either. Hard to stop eating it and spooning up the sauce.
Those three fantastic dishes made the fourth – wild bass with spinach-filled conchiglione and plump, super fresh peas – pale a bit in my eyes, but it was extremely fine in its way, especially those vegetables.
Although no one was very hungry at this point, we had to try the desserts. The deconstructed chocolate tart with tonka beans and sencha tea was indescribably good, but I’ll try: the rich chocolate cream was of such high quality that it left no cloying aftertaste in the mouth as some lesser chocolate does. The tonka beans and sencha tea gave it a lovely tang, while the brilliant chocolate crumble added crunch and a different chocolate flavor. I could eat this every day.
On the advice of the owner, we also tried the extremely light cheesecake with mango sauce and paper-thin slices of coconut. Another sublime dish.
At the end of our meal, Nikitits introduced us to the chef, the baby-faced but highly talented Charley Breuvart. Long may he cook!
Every other time I went to the old incarnation of L’Office, I was not entirely satisfied. There were always a few glitches. This time, not a single one. Now there is no reason to think twice about going to the office. It’s had a promotion and is no work at all, just joy.
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009 - gastronomic restaurant - gourmet - French gastronomy
Wed/May/Å
Un chef en cuisine qui travaille, qui a des idées et du talent pour les mettre en valeur.
Dans la pléthore de nouveaux restaurants parisiens, comment s’y retrouver ? Comment trier le bon grain de l’ivraie ? Certes, mieux vaut un certain trop plein que le vide intégral. Mais, à voir certains arrondissements, Paris frôle l’overdose avec des ouvertures pratiquement chaque semaine, dans tous les styles, tous les genres, à des prix généralement abordables puisque l’investissement est minimum. Les jeunes se lancent dans l’aventure de la restauration adoptant les codes du moment pour ne pas trop se distinguer des autres et de ce qu’attend une clientèle versatile et éphémère devant la variété de l’offre. Objectifs : se faire connaitre et fidéliser.
L’Office est de ceux-là. Ils sont deux et ont choisi le IXème arrondissement dans la partie rue Richer qui est loin de manquer de table. Charles Nikitits est le propriétaire. Jeune mais de l’expérience acquise au Royal Monceau et dans le lancement de La Maison de la Truffe à Bangkok.
Salle plutôt intime où le bar tient une grande place par rapport à la surface générale, 20 à 25 couverts, vivante le midi, plus calme le soir dans une ambiance un peu trop sombre pour profiter au mieux de la cuisine du jeune chef qui officie au sous-sol. Charley Breuvart a eu l’opportunité de travailler avec Jean-François Rouquette au Hyatt Paris. Il y a pire, et l’expérience fut manifestement bénéfique après la classique Ecole Ferrandi et l’Atelier Rodier.
_© Gourmets&co
Il travaille une carte courte, normal vu la taille des cuisines, avec quatre choix par catégories. Comme beaucoup de cartes, elle change au gré des arrivages, si possible des saisons, et de l’envie du chef de tester un nouveau plat. Pourtant, après une petite année d’ouverture, il a déjà son classique, son plat qui étonne à la lecture, qui attire et qui séduit.
Filet de bœuf Wellington
Il l’intitule : Filet de bœuf Wellington, servi avec une aérienne et savoureuse mousseline de rattes, et aune sauce au poivre vert de Kampot pour le petit coup de fouet indispensable.
Plat rare, d’une autre époque, et qui a pratiquement disparu des cartes de restaurant. Julien Allano, à Grignan, dans son restaurant étoilé Au Clair de la Plume le propose encore sur commande.
Même si l’origine du nom est obscure (du Duc du même nom peut-être), il s’agit au commencement d’un beau filet de bœuf cuit avec autour, pâté, duxelles de champignons ou de truffes, et enrobé de pâte feuilletée. La recette est ici simplifiée et le chef propose en fait un filet « emmailloté » dans une pâte et cuit au four. On ouvre, ca sent bon et c’est goûteux. Succès assuré et c’est tant mieux de retrouver ainsi les goûts d’antan revu aujourd’hui.
Salade de céréales, œuf confit © Gourmets&co
En entrée comme pour le reste, les propositions sont variées et différentes en restant complémentaires. Light pour la Salade de céréales, œuf confit, cresson et ail des ours ; plus riche et plus construite pour de bonnes Asperges vertes, morilles, vieux Comté, lard de Colonnata, et sauce au vin jaune réussie. Beau plat.
On passera plus vite sur le Bar sauvage en filets (trop cuits), accompagné bizarrement de cannelloni aux épinards élastiques et qui refroidissent vite, petits pois, et agrumes. Un plat de jeunesse qui veut trop en faire et trop « démontrer » mais qui, au final, est peu lisible.
Citron, sablé amandes @Culturefoood 1
Desserts réussis, principalement les petits babas au rhum, calamensi (petit citron vert), crème cardamome, et tagète (fleur au vague goût de fruit de la passion). Bien construit et délicieux. Même réussite avec le sablé amandes au beurre salé, chocolat blanc et surtout citron. Frais et nourrissant même si la pâte mériterait plus de finesse.
Carte des vins soignée grâce au choix judicieux du propriétaire (entrée de gamme autour de 30/35 €), quelques vins au verre (de 7 € à 9,70 €), service sympathique, et une table parfaitement recommandable dans ce quartier qui en manque dans ce genre, à savoir avec un chef en cuisine, qui a des idées, qui travaille, et qui a du talent pour les mettre en valeur. En prime, le patron aime la Chartreuse et Michel Guérard… un homme de confiance donc.
L'Office int @Culturefoood 13, rue Richer
75009 Paris
Tél : 01 47 70 67 31
www.office-resto.com
M° : Bonne Nouvelle
Fermé samedi et dimanche
Carte : 42 € (minimum) – 51 € (maximum)
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Fri/May/Å
Un bon bistrot
Tout a changé et en fait rien n’a fondamentalement changé à l’Office avec l’arrivée du nouveau propriétaire Charles Nikitits et du chef Charley Breuvart en fin d’année 2018. L'adresse demeure toujours attachée à cette cuisine de saison qui s'empare volontiers des classiques, à l’image de ce filet de bœuf Wellington. L’ambiance alterne entre la fréquentation des habitués du quartier au déjeuner et celle, le soir, d’une clientèle plus internationale. Il faut bien admettre que ce bout de l'arrondissement est devenu en quelques années une destination gastronomique à part entière, véritable observatoire des nouvelles tendances culinaires de la capitale. Un bémol toutefois, la disparition de la formule du déjeuner qui permettait de renouveler les visites à cette adresse sans trop regarder son porte-monnaie.
LA CARTE :
Entrées :
Brocoli rôti, ail noir, coriandre, persil 10.00 €
Ravioles à la brousse de brebis, coulis cresson, parmesan 11.00
Poissons :
Bar sauvage, conchiglioni épinards, petits pois, agrumes 25.00 €
Cabillaud vapeur, pomme de terre ratte, blettes, sabayon sauge 23.00 €
Viandes ou volailles :
Filet de bœuf Wellington, salade de céréales, ail des ours, jus de veau 29.50 €
Volaille jaune de Gascogne, fregola sarda, courgettes violon 23.00 €
Desserts :
Baba au rhum, calamansi, crème cardamome, tagète 10.00 €
Cheesecake, coulis mangue & passion, noix de coco 11.00
NOTRE REPAS DU : 03 mai 2019
PRIX : 56.00 €
pour ce repas avec un verre d’aligoté 2016, Domaine Bourreau.
Asperges vertes, morilles, vieux comté, lardo di colonnata, vin jaune - Poitrine de porc confite et petits légumes - Baba au rhum, calamansi, crème cardamome, tagète.
3, rue Richer
75009Paris
Bonne Nouvelle
+ 33 (0)1 47 70 67 31
www.office-resto.com
RESPONSABLE: Charles Nikitits
CHEF: Charley Breuvart
CHEF PÂTISSIER:
Accueil jusqu'à 22 h 30.
Fermé le samedi et le dimanche.
Fermé 3 semaines en août.
Fri/Apr/Å
A la tête de L’Office, Charles Nikitits, 31 ans. Après plusieurs années passées au Royal Monceau, puis à la Maison de la Truffe entre Paris et Bangkok, cet autodidacte passionné décide de se lancer dans l’aventure et d’ouvrir son propre restaurant : un rêve d’enfant devenu réalité.
Charles met un point d’honneur à proposer des produits d’une fraîcheur absolue, les plus sains possibles. Le potager familial, situé à une centaine de kilomètres de la capitale, fournit régulièrement le restaurant en fruits, légumes et autres herbes fraîches.
Passée la porte, la salle du restaurant a des airs de jardin d’hiver : sol ciré en bois de chêne, murs habillés de peinture à la chaux vert pâle et de feuilles de lierre. Plusieurs fois par semaine, des bouquets de fleurs fraîches du jardin habillent le comptoir de bois.
L’atmosphère claire et lumineuse au déjeuner laisse place le soir venu à une ambiance plus tamisée et intimiste, à la lueur des bougies. Véritable cocon, cosy et chaleureux, cette table de quartier s’anime d’un service jeune, bienveillant, souriant et professionnel.
On s’installe à l’une des tables en bois brut ou au bar en carreaux de faïence blanche pour découvrir les créations bistronomiques du chef, accompagnées d’un verre de vin soigneusement sélectionné, ou pour siroter un cocktail.
► En savoir + : le site internet et la page Facebook du restaurant
► L'Office
3 Rue Richer
75009 Paris
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Sat/Feb/Å
L’OFFICE De Charles Nikitits, Une Cuisine Fraîche Ultra Gourmande
Forbes France
| Carpaccio de daurade/Gelée de yuzu Jus d’agrumes/Pickles
A deux pas des Grands Boulevards, Charles Nikitits prend les commandes de L’Office où il propose une cuisine gourmande et saine à base de produits ultra frais.
Mettant en pratique son expérience acquise au Royal Monceau, Charles Nikitits a donné à L’Office les atouts d’un grand restaurant tout en gardant l’ambiance d’une adresse de quartier : élégante, accueillante et accessible. Un vrai bistronomique vite devenu la cantine des habitués.
Charles Nikitits
Charles Nikitits
Mettant un point d’honneur à ne proposer que des produits d’une fraîcheur absolue et les plus sains possibles, il va jusqu’à récolter ses herbes et légumes dans le potager familial… que Charley Breuvart, jeune chef formé chez Jean-François Rouquette au Park Hyatt, cuisine avec finesse et originalité.
La carte proposée à L’Office est courte, gourmande et ultra fraîche.
Servis dans de belles assiettes artisanales en céramique, ces plats raviront les papilles des plus exigeants.
Pour commencer, de généreuses assiettes à partager : Comme la très belle Terrine de Foie Gras maison au Cognac ou les Sardinillas, moutarde aux herbes et pain grillé .
Pêche de Quiberon en Ikejime/Fenouil Navet/Emulsion aux herbes
Puis laissez-vous tenter par le splendide Bœuf Wellington (belle pièce de bœuf dans sa gangue de champignons servie en croûte dorée et accompagnée de sauce au poivre), très rarement proposé sur les cartes des restaurants et qui est devenu rapidement un plat « signature » de L’Office !
De beaux desserts gourmands : Brioche au Sarrasin, Tartelette chocolat, Cheesecake mangue & passion… viendront, s’il vous reste un peu d’appétit, clôturer cette belle dégustation.
Tartelette chocolat / Tonka / Thé Sencha
Et bien sûr, pour accompagner ces plats sains et frais, L’Office propose une carte de vins composée avec les mêmes exigences : plus de 30 références issues de l’agriculture biologique, biodynamiques et naturelles. De belles découvertes comme le Château des Sarrins Blanc de Rolle, des pépites telles Le Domaine Richaud, star des Côtes du Rhône aux cuvées confidentielles qui méritent autant qu’un grand cru !
L’Office,
une belle adresse menée par une équipe talentueuse à suivre de près !
L’Office 3, rue Richer 75009 Paris
Tél. : 01 47 70 67 31
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Wed/Feb/Å
Coup de coeur Pointus 2018 !
Il fallait arriver sur la fin d’année pour se voir servir l’un des plats les plus marquant de l’année 2018…
Le restaurant pourrait prôner le concept de Farm to Table mais ne fait pas… pourtant, l’adresse portée par le passionnant et exigeant Charles Nikitis utilise les produits de sa ferme acheminés régulièrement pour alimenter son restaurant.
A l’intérieur, ambiance sobre mais chaleureuse, avec des points de lumière chaud, quelques attentions végétales et un joli comptoir en faïence meublant élégamment l’espace.
En sous-sol, la cuisine, tenue par le jeune et talentueux chef Charley Breuvart passé par de belles maisons.
Un menu concis, réjouissant aussi bien les becs viandards, poissonniers et végétariens, avec des possibilités d’adaptabilité aux régimes spécifiques (végan, sans gluten…).
Derrière la carte de vin, qui fleure bon la biodynamie et le nature, Gwillherm de Cerval, récemment mis sur le devant de la scène grâce à l’émission Très Très Bon de François Régis Gaudry, où nous avions goûté les glaces de la Glacerie avec la délicieuse Valentine Oudard.
La carte, cultive le métissage, avec un menu voyageur et audacieux à l’image de nos entrées :
Œuf en meurette, lard, gelée pimentée, et butternut pleine saison à la cuisson maîtrisée, champignons vinaigrés et jus de volaille (remplacé sur demande par un jus végétal). Deux propositions intéressantes, gourmandes et pepsées pour une entrée en matière alléchante.
Des Saint-Jacques dont on se souviendra
Nos plats seront grands et vaudront le coup de fourchette ! Surtout les Saint-Jacques adossées à du tapioca infusé dans un jus coriandre, avec un condiment citron confit, nashi et fenouil et du quinoa soufflé et torréfié,
Un plat déroutant, gourmand et floral, mettant sur le devant de la table le tapioca, souvent boudé dans les cuisines françaises mais pourtant plein d’intérêt, surtout travaillé de cette façon !
Plat signature oblige, mon acolyte fera un important écart à son régime fléxitarien, avec le filet de bœuf Wellington, cuit à 218°C précisément pendant 12 minutes accompagné d’une mousseline de pomme de terre ratte, sauce au poivre vert de Kampot. Une assiette masquant par son aspect, la complexité des techniques cumulées pour aboutir à ce résultant.
Bien que rassasiés, impossible de passer à côté de la tarte au citron de la Maison Sitron « sans gluten » ayant un indice d’acidité fort (donc qu’on adore).
Et une tartelette, chocolat, tonka, thé Sencha, recommandé puis approuvée grâce à sa puissance en chocolat de qualité allié à une légèreté en bouche apporté par le Tonka.
Pour conclure :
Assiettes dressées au cordeau, produit ultra-frais et souvent locaux, recettes audacieuses et voyageuses, service efficace et prix accessibles : l’assurance d’un très bon moment passé à l’Office.
L’Office - restaurant bistronomique / néo-bistrot
Thu/Jan/Å
L'Office, un must de 2019
Les bonnes adresses n'échappent pas longtemps à la notoriété et il est recommandé de réserver sa table dans ce nouveau petit bistrot, discret et charmant.
En toute discrétion, ce bistrot minuscule cache bien son jeu, car la table, depuis la reprise par le jeune Charles Nikitits, est devenue époustouflante. Ouvrir ce restaurant pour lui était un rêve d'enfant que l'autodidacte, qui a fait ses preuves dans de belles maisons, assume avec bonheur. La vaisselle, pour être en harmonie avec la cuisine du chef, a été dessinée spécialement...
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Fri/Jan/Å
Coup de food. - Cette enseigne savoureuse, l'Office, est tenue par le binôme Charles Nikitits et Charley Breuvart. Un duo qui a le peps de la jeunesse et le talent de l’envie.
Le pitch. - C’est un bistrot de poche, à deux pas des Folies Bergère. En toute discrétion, il s’aligne à côté des autres enseignes plus ou moins gourmandes de la rue. Mais s'il se fait discret, ce n'est qu'une apparence. Sol ciré en bois de chêne, murs habillés de peinture à la chaux vert olive pâle et un peu partout des feuilles de lierre, jusque sur le grand comptoir de bois. La façade, elle aussi, arbore cette couleur nature et raconte une histoire. Celle de deux copains épicuriens qui mettent en avant les produits du potager familial de l’un, rehaussés par l’audace d’un cuisinier talentueux. Charles Nikitits rêve depuis l’enfance d’ouvrir son propre restaurant. Aujourd’hui, c’est chose faite pour l’autodidacte qui a fait son apprentissage au Royal Monceau puis à la Maison de la Truffe. Ici, 100 % de l’enseigne est à son image, chaleureuse et bourrée de charme. Pour rehausser les recettes du chef Charley Breuvart, les deux amis ont fait appel à la céramiste Judith Lasry qui leur a réalisé un modèle de vaisselle unique aux lignes singulières dans ses ateliers bourguignons.
Le chef. - En cuisine, c’est donc Charley qui officie. Fils spirituel de Jean-François Rouquette au Park Hyatt, il s’est inspiré du geste méticuleux de son maître. Malgré son jeune âge, le jeune homme discret a néanmoins l’insolence de l’innovation. Ses préparations justes et inventives excitent les papilles, ses audacieuses assiettes qui peuvent avoir une consonance de terroir deviennent sexy et sont accompagnées d'un choix de vins recherchés par le chef, le plus souvent natures. Le poisson, dont il maîtrise la cuisson à la perfection et qu’il commande en direct à des pêcheurs bretons, est son produit préféré. Il faut également essayer les coquilles Saint-Jacques au tapioca.
L'assiette. - Elle est courte et bien balancée. On a le choix entre trois entrées, trois plats et trois desserts. En entrée, c'est terrine de foie gras de canard (parfaite), carpaccio étonnant de coquilles Saint-Jacques aux algues ou butternut aux champignons sauvages vinaigrés piquants. En plat, l'assiette couture de notre table était le canard colvert et sa purée de betteraves et polenta. Le filet de bœuf Wellington de notre voisin n’avait rien à envier au plat phare de Gordon Ramsay, quant aux Saint-Jacques au tapioca, coriandre et citron confit, c'était l’assiette la plus sexy goûté depuis longtemps. En dessert, le cheesecake à la noix de coco, coulis de mangue et passion nous a fait regretter de n’en prendre qu’un pour deux. Adresse de charme, binôme séduisant, assiettes qui bousculent les sens, à découvrir et à suivre absolument.
On y croise. - Fabrice Luchini, Yamina Benguigui, Laurent Delahousse.
Les menus et prix. - Entrée environ 12 € - Plats 24 € - dessert 10 €.
L'Office, 3 Rue Richer, 75009 Paris. Tél. : 01 47 70 67 31.
Thu/Dec/Å
Quelles sont les nouvelles tables à Paris qui font parler d’elles cette année ? Voici les restaurants à ne pas rater qui feront craquer les plus gourmets d’entre vous.
Direction le 9e arrondissement pour l’une des nouvelles tables à Paris de 2019 : L’Office. Charles Nikitits, le propriétaire (ex Royal Monceau et La Maison de la truffe), a repris les reines du restaurant de Charles Compagnon et s’est entouré d’une nouvelle équipe jeune et dynamique, afin de faire revivre cette adresse réputée de la rue Richer. Au programme, une carte de saison, courte et fraîche pour une cuisine sincère et gourmande.
On se délecte donc d’un excellent carpaccio de Saint-Jacques aux topinambour et algues en entrée, pour ensuite savourer un délicieux cabillaud accompagné de légumes d’hiver rôtis (le panais est excellent) ou encore d’un parfait filet de bœuf Wellington et sa mousseline de pomme de terre nappé d’une sauce au poivre pour relever le tout.
C’est bon, gourmand, incroyablement bien présenté, mais gardez de la place pour le dessert, notamment la tartelette au chocolat, tonka et thé Sencha. Le menu change régulièrement et les produits sont frais. Le chef, Charley Breuvart, puise régulièrement dans le potager du patron, en Normandie, pour s’approvisionner.
> Adresse : 3, rue Richer, 75009 Paris
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009
Mon/Dec/Å
Le temple de la bistronomie situé à un jet de pierres des grands Boulevards fait peau neauve
10.12.2018
by Mélanie Mendelewitsch
Le lieu
Adresse discrète que les adeptes de la bistronomie nouvelle génération se refilent discrètement sous le manteau, ce spot situé à deux pas des grands boulevards est dirigé d'une main de maître par le chef Charles Nikitits, talentueux autodidacte passé par le Royal Monceau et la Maison de La Truffe.
Le concept de ce lieu intimiste à l'accueil chaleureux? Une cuisine ultra créative concoctée à partir d'ingrédients frais issus du potage familial du maître des lieux, le tout à des prix ultra raisonnables.
On y mange quoi?
La cuisine savoureuse et inventive de l'excellent chef Charley Breuvart, qui a notamment fait ses armes chez Ferrandi et au restaurant du Park Hyatt Vendôme sous l'égide de Jean-François Rouquette.
Expert ès Poisson, il fait découvrir aux fish lovers ses succulentes créations parsemées de saveurs du pays du soleil levant, concoctées à partir d'une pêche de premier choix toute droit venue de Bretagne: en préambule, on se régale d'un carpaccio de daurade fondant et fleuri à la gelée de Yuzu, de ravioli de Cèpes au bouillon Shiitake ou d'un succulent taboulé aux herbes corsé d'une pointe de Zaatar avant d'enchaîner avec le bar sauvage aux gnocchi et aux épinards, ou l'incroyable filet de boeuf Wellington à la mousseline de pomme de terre ratte.
Et pour finir en beauté, on s'accorde un plaisir coupable avec la tartelette de chocolat à la fève Tonka et au Thé Sencha, ou le Citron sablé amandes et beurre salé gluten free.
3 rue Richer, 75009 Paris
www.office-resto.com
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Mon/Dec/Å
L'Office fait peau neuve
Après le Royal Monceau, Charles Nikitits reprend, cette année, L'Office, charmant bistrot du 9ème à Paris. Avec aux fourneaux le chef Charley Breuvart, on y déguste une cuisine de saison gourmande, dans le plus pur esprit bistrotier et qui évolue selon les trouvailles du marché. Des exemples? Oeuf meurette, lard et gelée de paprika, cabillaud, légumes d'hiver et beurre de Saint-Jacques, brioche sarrasin, ganache, gelée de whisky et chantilly au café... Alléchant.
3 Rue Richer, 75009 Paris, Tel.01 47 70 67 31
https://www.office-resto.com/
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Fri/Nov/Å
Situé à deux pas des Grands Boulevards, l’Office fait peau neuve avec une cuisine bistronomique réalisée à partir de produits ultra frais, à prix très raisonnables. A sa tête : Charles Nikitits, 31 ans. Après plusieurs années passées au Royal Monceau, puis à la Maison de la Truffe entre Paris et Bangkok, cet autodidacte passionné décide de se lancer dans l’aventure et d’ouvrir son propre restaurant...
Thu/Nov/Å
Après une sélection de rentrée riche en ouvertures, l'automne gastronomique parisien ne déçoit pas. Avec au total 35 adresses listées (dont 15 testées et dûment approuvées par l'équipe de la rédaction) l'actualité est plus intense que jamais.
Les grandes tendances de ce nouveau florilège de bonnes tables ?
Tue/Nov/Å
Alors que les nouveaux restaurants poussent comme des petits champignons de Paris, des adresses iconiques optent pour un revival branché. Après La Poule au Pot reprise par Jean-François Piège, le neo-bistrot L’Office fait à son tour peau neuve.
Tout change et rien ne change pour cette table bistronomique des Grands Boulevards, montée il y a plus de 10 ans par Nicolas Scheidt, passée entre les mains de Charles Compagnon, qui vient de confier l’affaire à Charles Nikitits (ex Royal Monceau, La Maison de la truffe), jeune entrepreneur à suivre de près.
Nouveau propriétaire, nouveau chef, nouvelle déco, mais l’esprit reste le même : valoriser les produits soigneusement sourcés autour d’une cuisine sincère et créative.
UNE PARTITION QUI A TOUT BON
Remarquables oursins de Galice dans un risotto d’épeautre (11 €), exquises ravioles de cèpes barbotant dans un délicieux bouillon shiitaké et espuma de champignons (11,50 €), impeccable canard Colvert sauvage, purée de betterave, polenta (24 €). Après avoir fait ses gammes au Park Hyatt Vendôme et à l’Atelier Rodier, le chef Charley Breuvart maîtrise parfaitement le game.
Une standing ovation générale pour son filet de bœuf Wellington nappé d’une sauce au poivre doucement piquante (29 €). Clap clap. Le tout se combine à merveille avec les vins de petits producteurs, bio ou naturels pour l’essentiel.
Et pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, goûtez donc la tarte au citron sans gluten, mise au point avec la pâtisserie spécialisée Sitron (11 €).
CES PETITS DÉTAILS QUI FONT LA DIFF’
Dans la mesure du possible, le chef puise directement dans le potager du patron, établi en Normandie. C’est aussi du jardin familial que proviennent les bouquets d'hortensias et la verveine fraîche qui embaume la tisane de fin de repas. Ah, les petits plaisirs de la campagne… Sans oublier la ravissante vaisselle confectionnée à la main par Judith Lasry, la céramiste que les restaurateurs s’arrachent.
Ouvert du lundi au vendredi midi et soir.
Julie Zwingelstein
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009
Sun/Oct/Å
Dans un cadre sobre, moderne et cosy, ce bistrot vous servira de la cuisine fraîche et de saison.
En plus de leurs quelques plats signatures toujours à la carte (comme leur fameuse tartelette chocolat, Tonka thé Sencha ou la daurade royale, bouillabaisse, Pommes de terre et fenouil) le chef imagine et crée des recettes de saison. Servis sur de belles tables en marbre et assis sur des banquettes en cuir bien confortables, on s’y sent bien.
Butternut et shitaké pour commencer.
Nous partageons en entrée le butternut, girolles & shimeji vinaigrés, jus de volaille. Le butternut est cuisiné sous deux formes, en purée et rôti. Accompagné des champignons vinaigrés, c’est gourmand et raffiné. Nous goûtons également les ravioles de cèpes qui baignent dans un bouillon shitaké, espuma de champignons. Le mariage de textures entre la raviole al dente, la mousse de l’espuma et la crème du bouillon est PARFAIT !
Terre ou Mer, nous approuvons les deux voyages.
En voici une belle façon de cuisiner l’aile de raie (ça change de la raie au beurre noir et c’est moins gras) : cuite à la vapeur accompagnée de chou-fleur, granola de noix (super idée pour amener du croquant) et sabayon au vin jaune.
Côté viande, le filet de bœuf Wellington arrive comme le veut la tradition dans une pâte feuilletée (utilisée pour la cuisson) : Chapeau, c’est tendre à souhait. Il est accompagné d’une mousseline de pomme de terre ratte avec une sauce au poivre de Tellichery, relevée comme il faut.
Figue POWER !
En septembre, la figue est à l’honneur, alors on en profite. Je suis curieuse de voir ce que le chef propose : Figues pochées au vin chaud, sablé breton et romarin. Oubliez la figue farineuse et fade, la voici sublimée par les saveurs du vin et merveilleusement accompagnée de romarin. On a testé également l’un de leurs desserts signatures : Citron, sablé amandes beurre salé et chocolat blanc : c’est beau, on ose à peine y toucher mais c’est surtout très très bon !
Côté Addition.
Si vous voulez vous faire plaisir autant que nous sans pour autant trop casser votre tirelire, comptez 10€ pour une entrée en moyenne, 25€ pour le plat et 10€ pour le dessert.
La façade du restaurant est toute simple pourtant quel bonheur dans l’assiette… COME ON IN !
L’Office - restaurant bistronomique / néo-bistrot
3 rue Richer 75009 Paris
Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h et de 19h à 22h30
Fermé le weekend
01 47 70 67 31
Wed/Oct/Å
Cette adresse bien implantée dans le quartier, mais quelque peu surannée, a été reprise cet été par Charles Nikitits, qui lui a donné un bon coup de pep's. Au menu : une équipe rajeunie, une déco modernisée façon jardin d'hiver, une carte courte et innovante qui met à l'honneur les produits de saison - ravioles de cèpes, joue de porc braisée, figues pochées -... et même ceux du potager du patron, situé à une heure de Paris. (Demandez-lui de vous faire une tisane !). On a aimé la jolie présentation des plats - particulièrement instagrammable -, la vaisselle faite de pièces uniques et la bonne humeur qui se dégage du lieu. Une valeur sûre. Comptez 8-11 € l'entrée, 21-29 € le plat, 10 € le dessert. 3 rue Richer, Paris 9e.
Sat/Sep/Å
A quelques pas des Grands Boulevards et des Folies Bergères, le restaurant L’OFFICE entre les mains d'une nouvelle équipe pour une cuisine subtile et savoureuse.
Au cœur du 9ème arrondissement, dans la rue des Folies Bergères, L’Office a fait peau neuve depuis juin 2018, sous la houlette du tout juste trentenaire et passionné Charles Nikitits qui a racheté cet établissement bien connu des amateurs de la cuisine de bistrot.
Dans un cadre intime aux airs de jardin d’hiver (sol en bois de chêne, feuilles de lierre, murs vert pâle, comptoir bois), Charles Nikitits et le jeune et doué chef Charley Breuvart proposent de délicieux plats réalisés exclusivement à base de produits frais, livrés principalement en circuit court par des petits producteurs.
La carte, courte (4 entrées, 4 plats, 4 desserts), évolue au fil des semaines selon les arrivages et l’inspiration du chef.
En cette agréable soirée de septembre, outre les 3 suggestions à partager («Cecina de Leon/Beurre demi sel», «Sardinillas à l’huile d’olive/Moutarde aux herbes/Pain grillé», «Jambon cuit à la truffe d’été»), Charley Breuvart a inscrit, en entrées, des «Oursins de Galice/Risotto d’épautre/Céleri», un «Butternut/Girolles & shimeji vinaigrés/Jus de volaille», un «Saumon gravlax/Hibiscus/Raisins au Sauternes/Tapioca» et des «Ravioles de Cèpes/Bouillon Shitaké, Espuma de champignons».
L’on peut ensuite choisir entre l’« Aile de Raie/Chou-fleur/Noix/Sabayon au Vin Jaune», la «Daurade Royale/Bouillabaisse/Pommes de terre/Fenouil», le «Magret de Canard du Périgord/Purée de betteraves/Polenta/Condiment pruneau» et le «Filet de Bœuf Wellington/Mousseline de pomme de terre ratte/Sauce au poivre de Tellichery».
En dessert, les gourmands se laisseront séduire par l’« Aspic de prunes/Cardamome/Crumble noisettes», la «Tartelette chocolat/Tonka/Thé Sencha», les «Figues pochées au vin chaud/Sablé breton/Romarin» ou par le «Citron/Sablé amandes beurre salé/Chocolat blanc».
Pour les vins, Charles Nikitits a fait appel au sommelier Gwilherm de Cerval qui a composé une jolie et pointue sélection d’une trentaine de références issues de petits producteurs.
Après avoir été chaleureusement accueillis, ce mardi, par le maître des lieux, l’on apprécie les délicats «Butternut/Girolles & shimeji vinaigrés/Jus de volaille» et «Ravioles de Cèpes/Bouillon Shitaké, Espuma de champignons».
Le succulent «Magret de Canard du Périgord/Purée de betteraves/Polenta/Condiment pruneau», servi rosé, et la formidable «Daurade Royale/Bouillabaisse/Pommes de terre/Fenouil» à la cuisson parfaite, que nous accompagnons respectivement d’un Côtes du Rhône 2017, Domaine Marcel Richaud, bien charpenté, et d’un Bourgogne blanc 2015, Domaine Jean-Louis Trapet, assez gourmand, ravissent ensuite nos papilles.
Charley Breuvart étant également un talentueux pâtissier, nous terminons en beauté cet excellent dîner par deux épatants desserts, l’onctueuse «Tartelette chocolat/Tonka/Thé Sencha» et le fin «Citron/Sablé amandes beurre salé/Chocolat blanc».
Que ce soit pour dîner ou déjeuner, l’on conseillera vivement de réserver une table afin de venir goûter, dans ce charmant restaurant qui affiche complet depuis la rentrée, une cuisine savoureuse servie avec gentillesse et précision.
Par Georges Kouassi
L’Office
3, rue Richer - 75009 Paris - Tél: 01 47 70 67 31
Carte: 41/51 €
Ouvert du lundi au mardi de 12h à 14h et de 19h à 22h.
Fermé samedi, dimanche et mois d’août
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009
Mon/Sep/Å
Elle a de la gueule cette nouvelle Office ! Nouveau capitaine, nouveau chef, nouvelle déco mais toujours le même esprit bistronomique dans les assiettes de cette adresse-cocon, nichée entre les Folies Bergères et les Grands Boulevards.
Le nouveau duo de l’Office fait la paire, le joyeux Charles Nikitits (ex Royal Monceau et Maison de la Truffe à Paris et Bangkok) s’occupe de la salle tout sourire et le chef Charley Beuvart (ex Ferrandi, Agapé et Park Hyatt) envoie ses créations, aux dressages dignes des étoilés.
On repère le fil conducteur du végétal dans les assiettes : beaucoup de légumes, des herbes et des micro-pousses récoltés principalement dans un potager à 100km de Paris.
Un bouillon autour du champignon annonce l’automne, le butternut brille sous le jus de volaille, la daurade swingue avec une sauce bouillabaisse : du frais, du bon et de saison.
Produit fétiche du chef ? Le poisson. Cuissons impeccables, sauces aiguisées, on en redemande.
Travailler l’aile de raie, ce n’est pas commun, en voilà un chef qui prend le risque de faire découvrir ou redécouvrir ce genre de poissons.
La carte est courte et un plat change au moins tous les jours, une bonne raison pour devenir un habitué et côté quilles, la carte est signée par l’un des sommeliers du Royal Monceau et penche du côté du bio, du nature et de la biodynamie.
Pour les épicuriens ayant un sacré penchant pour le chocolat, direction la création tout chocolat avec crumble, ganache, coque en chocolat, thé sencha et tonka : une bombe de dessert !
Les assiettes sont d’une élégance folle et signées par la céramiste Judith Lasry qui a mis près de deux mois à leur donner vie dans son atelier en Bourgogne : du contenu au contenant, le diable est dans les détails.
L’Office
3 rue Richer, Paris 9ème / Métro Bonne Nouvelle ou Poissonnière
Marie
Étiquette bistronomie, chocolat, dessert, Food, Grands Boulevards, L'Office, Paris, poisson, Restaurant, resto, vins
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Sat/Sep/Å
Ouvert depuis le mois de juin, L'Office, nouveau néo-bistrot cosy du IXe a tout pour plaire.
L'adresse détonne dans le tumulte et le brouhaha de la rue Richer, en plein cœur du IXe arrondissement. Avec sa devanture vert pastel et ses nombreuses plantes à l'intérieur, L'Office, nouvelle adresse reprise au moins de juin par Charles Nikitits est un petit havre de paix.
L'intérieur est cosy. Une trentaine de places assises et quelques autres au bar, pour patienter. L'affaire tourne à plein régime, et au sous-sol, le chef Charley Breuvart ne désemplit pas. Pour venir à L'Office, on vous conseille d'ores et déjà de réserver, le bouche-à-oreille tournant à plein régime.
La fête est dans l'assiette
Car dans l'assiette, on est gâté. Grâce à sa carte complète qui s'adapte aussi bien à la saison qu'au client. Certains plats sont là depuis day one, d'autres varient tous les quinze jours, c'est selon. En entrée, on se laisse envoûter par deux saumons gravelax, hibiscus, raisins au sauternes et une petite chip de tapioca (10 euros). Mariné 48 heures, le poisson est impeccable, la quantité est parfaite, la chip un peu cheap mais qu'importe : tout est là pour attaquer le plat principal aussi sereinement que possible.
Deux assiettes, deux ambiances pour la suite. Daurade royale dans sa bouillabaisse, accompagnée de petites pommes de terre et de fenouil en délicates lamelles (23 euros) d'un côté. Foie de veau et sa purée de betteraves, accompagnée d'une petite polenta et d'un condiment au pruneau (21 euros) de l'autre. Les mariages se célèbrent sur le palais, les papilles jubilent. Un sans-faute.
Service impeccable
Deux verres de Bourgogne (Domaine jean-Louis Trapet, 2015 à 8,40 le verre), sélectionnés par Gwilherm de Cerval, font le job pour lier les saveurs et nous permettre d'espérer goûter à l'un des quatre desserts proposés à la carte (tous à 10 euros). On se rue sur deux signatures de la maison : la tartelette chocolat, fève tonka et thé sencha pour l'un et la douceur du citron sur un sablé amande beurre salé et son chocolat blanc. Un peu cher mais le goût est encore une fois au rendez-vous.
D'autant qu'à L'Office, l'accueil et la gentillesse (gratuits) ne sont pas une option. On ressort d'ici aussi satisfait que repu. Une bien belle adresse on vous a dit, et on vous le répète.
L'Office, 3 rue Richer, ouvert du lundi au vendredi de 12 heures à 14 heures et de 19 heures à 22 heures 15 https://www.office-resto.com/
Mon/Sep/Å
Ouvrir son propre restaurant. Un rêve d’enfant qui devient réalité. C’est l’histoire de Charles Nikitits (passé au Royal Monceau puis à la Maison de la Truffe), heureux propriétaire à 31 ans d’une jolie adresse bistronomique pleine de charme à deux pas des Grands Boulevards.
Ce bistrot, bien connu des gourmets du quartier, vient donc de faire peau neuve tout en restant fidèle à la philosophie qui est la sienne : du frais, de la saisonnalité, de la bistronomie pimpante.
Carreaux de faïence blanche, sol ciré en bois de chêne, murs vert pâle peint à la chaux et feuilles de lierre en font un lieu élégant et chaleureux.
Le service est souriant, professionnel et amical. Théo, le jeune sommelier, saura vous conseiller les meilleurs accords, tandis qu’en cuisine, Charley Breuvart (ex Park Hyatt) s’inspire des saisons pour réaliser en toute liberté une cuisine moderne, créative, qui place le produit au coeur de l’assiette. Son dada ? Le poisson, qu’il adore cuisiner. Comme un gravlax presque confit ou encore le coup de coeur du déjeuner : cette aile de raie magnifiée par une cuisson parfaite et proposée avec un sabayon au vin jaune.
En dessert, le « citron, sablé amandes beurre salé et chocolat blanc » est à goûter absolument. Travaillé sans gluten, il conviendra à tous.
Enfin, saluons le travail de la céramiste Judith Lasry qui a créé en exclusivité pour le restaurant une ligne de vaisselle couleur gris émail qui contribue encore plus à mettre en valeur les créations gastronomiques du jeune chef.
Très belle carte des vins composée d’une trentaine de références bio ou naturelles.
Une adresse comme on aimerait en voir plus souvent.
L’Office
3 rue Richer, 9e
Fermé samedi, dimanche
Ticket moyen 40 €
Tél : 01 47 70 67 31
Résa conseillée !
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Mon/Aug/Å
Le néo-bistrot L'Office fait peau neuve en 2018. Cette table bistronomique des Grands Boulevards, montée il y a déjà 12 ans, vient d'être confiée à Charles Nikitits. Passé par le Royal Monceau et La Maison de la truffe, le nouveau propriétaire décide de procéder à des changements profonds de carte et de décoration, en maintenant toutefois l'esprit du lieu. Une adresse agréable, à découvrir à tout prix !
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - restaurant Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards - restaurant 75009
Mon/May/Å
De la vaisselle à l'assiette, cette table du IXe, tout juste reprise, est déjà sur les rails.
Après avoir éprouvé l'art de recevoir au Royal Monceau(Paris VIIIe)et à la Maison de la Truffe, Charles Nikitis, 31 ans, applique ses bonnes manière dans ce néo-bistrot à la déco minimale. Avec les magnifiques céramiques de Judith Lasry (Paris XI), il a même mis les petits plats dans les grands pour servir la jolie bistronomie de Charley Breuvart, une jeune pousse de 26 ans arrosée au Park Hyatt chez Jean-François Rouquette (Paris IIe) et à l'Atelier Rodier.
Les petits pois sont cuisinés à la française et servis avec une étonnante crème d'amandes.Les petits pois sont cuisinés à la française et servis avec une étonnante crème d'amandes.Charles Patin O'Coohoon
Une crème d'amandes est immergée dans un onctueux velouté de petits pois à la française (cuits à l'étuvée avec du beurre). De petites coques en stock barbotent sereinement avec des artichauts et des rattes dans un court-bouillon. Avec ses chairs caressantes, le merlu de Quiberon ikejime (tué selon le rite japonais, qui améliore la qualité du poisson) fraye entre l'amer et l'anisé avec des navets et du fenouil au milieu d'une écume d'herbes. En dessert, une épatante tarte au citron part délicieusement dans les aigus. Dans le verre, la vivacité du bourgogne aligoté du Domaine Bouzereau (24 €) et le diabolique Mephisto, le cabernet-franc tout en suavité du domaine de l'Ecu (76 €) font carte commune dans une habile sélection qui verse dans les vins vertueux. Nul doute qu'à ce rythme, cet Office se remplisse vite.
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L'Office, 3, rue Richer, Paris (IXe), 01-47-70-67-31. Carte : 40 €. Fermé samedi et dimanche.
L'Office - Restaurant bistronomique - restaurant gastronomique - bistrot - Paris 9 - Folies Bergères - Grand Rex - Grands Boulevards
Mon/Nov/Å
Alors que les nouveaux restaurants poussent comme des petits champignons de Paris, des adresses iconiques optent pour un revival branché. Après La Poule au Pot reprise par Jean-François Piège, le neo-bistrot L’Office fait à son tour peau neuve.
MISE À JOUR RÉALISÉE AVEC SUCCÈS
Ambiance intérieur de la salle du restaurant l'Office
Tout change et rien ne change pour cette table bistronomique des Grands Boulevards, montée il y a plus de 10 ans par Nicolas Scheidt, passée entre les mains de Charles Compagnon, qui vient de confier l’affaire à Charles Nikitits (ex Royal Monceau, La Maison de la truffe), jeune entrepreneur à suivre de près.
Nouveau propriétaire, nouveau chef, nouvelle déco, mais l’esprit reste le même : valoriser les produits soigneusement sourcés autour d’une cuisine sincère et créative.
UNE PARTITION QUI A TOUT BON
Plat de filet de bœuf Wellington nappé d’une sauce au poivre du chef Charley Breuvart
Remarquables oursins de Galice dans un risotto d’épeautre (11 €), exquises ravioles de cèpes barbotant dans un délicieux bouillon shiitaké et espuma de champignons (11,50 €), impeccable canard Colvert sauvage, purée de betterave, polenta (24 €). Après avoir fait ses gammes au Park Hyatt Vendôme et à l’Atelier Rodier, le chef Charley Breuvart maîtrise parfaitement le game.
Une standing ovation générale pour son filet de bœuf Wellington nappé d’une sauce au poivre doucement piquante (29 €). Clap clap. Le tout se combine à merveille avec les vins de petits producteurs, bio ou naturels pour l’essentiel.
Et pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, goûtez donc la tarte au citron sans gluten, mise au point avec la pâtisserie spécialisée Sitron (11 €).
CES PETITS DÉTAILS QUI FONT LA DIFF’
Tartelette chocolat et Cheesecake, coulis mangue & passion, noix de coco du restaurant l'Office
Dans la mesure du possible, le chef puise directement dans le potager du patron, établi en Normandie. C’est aussi du jardin familial que proviennent les bouquets d'hortensias et la verveine fraîche qui embaume la tisane de fin de repas. Ah, les petits plaisirs de la campagne… Sans oublier la ravissante vaisselle confectionnée à la main par Judith Lasry, la céramiste que les restaurateurs s’arrachent.
Ouvert du lundi au vendredi midi et soir.
Retrouvez aussi le Café Panache repris par les soeurs Levha et Astair
Julie Zwingelstein
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Sun/Sep/Å
L’Office renaît de fort belle manière
17/09/2018
L’Office avait très bonne réputation sous sa forme précédente, alors l’une des trois tables de Charles Compagnon du quartier (avec le Richer juste en face et le 52). Mais Compagnon a vendu et le restaurant est entre de nouvelles mains, repris par Charles Nikitits (passé par le Royal Monceau et la Maison de la Truffe). Le décor a aussi changé, le lieu, un peu sombre auparavant, est désormais lumineux, avec son très joli vert pastel et quelques plantes.
En cuisine, le chef s’appelle Charley Breuvart, un ancien de la belle équipe du Park Hyatt. A noter qu’il utilise beaucoup de produits du potager familial du patron, se laissant porter par les inspirations du jardin. L’entrée démarre très fort, avec cette épaisse roue de butternut cuite al dente (c’est fondant, mais avec une belle mâche). Elle est agrémentée de girolles, de pickles de champignons shimeji et d’un jus de viande pas trop corsé. Nous étions aux premiers jours de septembre et l’assiette criait le début de l’automne, avec beaucoup de parfums et de coeur.
Le plat tient le rythme sans mal. Un beau tronçon de poitrine de cochon fondante et grillotée, impeccablement cuite avec quelques légumes et une purée de brocolis. Ce qui est très fort c’est le petit condiment au dessus du cochon, mélange de sésame noir et de cacahuète mixée. C’est drôle parce que cela ressemble à du boudin et au goût j’ai même cru que c’était du boudin au premier coup de fourchette (avant d’analyser la situation de manière UN PEU PLUS LUCIDE). C’est en tout cas délicieux.
Je n’ai pas grand chose à en dire puisque ce n’était pas mon plat, mais regardez cette jolie compo autour des rougets et d’un genre de bouillabaisse émulsionnée. Ca brille.
Mon dessert, un aspic de prunes, une crème à la cardamome et un crumble aux noisettes. C’est plutôt bon, la gelée est parfumée, les petites fleurs dessus puissantes. Mais ce n’est clairement pas le meilleur moment du repas, le crumble manque un peu de générosité côté beurre.
Reste un très joli repas qui m’a convaincu sans mal, pour un restaurant qui renaît de ses cendres sans se renier côté style. Entrées entre 8e50 et 11e, plats entre 20 et 29, desserts à 10 euros.
3 rue Richer, Paris 9.
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